Lorsque la chaleur accablante sévit, babouins, impalas et éléphants se pressent sur les rives des cours d’eau affaiblis afin de s’abreuver, sous l’œil intéressé des crocodiles du Nil, impatients de se rassasier. Le retour de la pluie permet à la terre de reprendre des forces, et marque notamment le retour des ouaouarons, de petits batraciens au chant grave et lent.