Selon Sarah Parcak, une chercheuse américaine, un infime pourcentage des trésors de l'Egypte ancienne a été découvert. Grâce à l'imagerie satellite, elle espère pouvoir dresser une nouvelle carte des sites archéologiques. Les satellites permettent en effet de localiser des objets dans les sols, invisibles à l'oeil nu. Munie des photos prises depuis l'espace, Sarah part à la recherche de tombeaux oubliés et de pyramides enfouies. Le site de Tanis, mais aussi ceux d'Abydos, ville sacrée d'Osiris, et de Saqqarah, retiennent particulièrement son attention.