Il y a vingt ans, le Québec était un chef de file en matière de dons d'organes. Mais les choses ont bien changé. Quand le conjoint d'Irène Trépanier a reçu un diagnostic sans appel de la forme la plus foudroyante de la maladie de Lou Gehrig, il a demandé et obtenu l'aide médicale à mourir. Il tenait à faire don de ses organes, mais on l'a informé au dernier moment que ses poumons ne seraient pas prélevés, une grande déception pour cet homme qui était en pleine forme avant sa maladie.