Le nouveau chef de l'ETA est encore plus sanguinaire que le précédent. L'une de ses principales décisions est la tentative d'assassinat du candidat à la présidentielle. Les enlèvements et les meurtres de politiciens et de gardes civils se poursuivent. Durant cette période, l'enlèvement d'un jeune conseiller basque jusqu'alors inconnu, marquera le début de la fin pour l'ETA.