Le long d’un travelling de huit minutes, on traverse les différents mondes de notre temps – art contemporain, GAFA, sport, religions, pornographie, politique, finance ; vaches sacrées, veaux d’or, surveillance généralisée, opiums du peuple. Tout y passe. C’est Jérôme Bosch téléporté dans l’ère post Warhol. Si l’aliénation moderne est pointée du doigt, il n’y a pas de jugement moral, mais un détachement clinique à la Kubrick – les faits, rien que les faits...